La Pulpeuse Nathalie : Le Mariage Avec Vincent, L’Amitié Avec Richard En Passant Par Les Jeux Pervers Avec Anthony (Partie 5/9)

Nathalie, cette secrétaire comptable de 25 ans, elle était totalement épanouie sexuellement, elle choisissait ses partenaires chez les hommes mariés car elle ne voulait pas s’attacher, elle n’était pas prête pour une union. Cette façon de voir les choses, était tout à son avantage, les hommes baisaient avec elle sans retenu et repartaient voir leurs épouses sans que personne n’en sache rien. Ainsi, tout le monde était content.
Son meilleur amant, restait toutefois Anthony son chef, il avait tous les atouts qu’elle recherchait. Il était marié, un peu plus vieux qu’elle, très viril, quelque peu sauvage et dominateur et surtout joueur. Ces deux-là s’amusaient beaucoup, leur jeu favori se passait toujours dans le bureau de Direction, Nathalie occupait celui attenant au sien. Lorsqu’il recevait un homme d’un âge avancé venant sans son épouse, Anthony appelait sa secrétaire. Elle comprenait tout de suite, habillée toujours très sexy, elle dégrafait un ou deux boutons de son corsage, tirait le petit fauteuil à roulettes et se plaçait sur le côté du grand bureau de son chef. Ne pouvant pas mettre ses jambes en dessous, elle était donc obligée d’écarter les jambes afin d’être au plus près du bureau. Avec ses jupes courtes, elle laissait apparaitre ses cuisses nues au-dessus de ses bas autofixants. Cette position indécente ne laissait pas indifférents ces clients, lorsqu’elle faisait défiler le diaporama des catalogues de voitures sur sa tablette :
— Approchez-vous Monsieur « Untel », leur disait-elle avec sa plus belle voix enjôleuse.
Tout ceci pendant qu’Anthony donnait toutes les explications nécessaires au choix de leur prochain modèle. Les hommes n’écoutaient plus rien, ils ne regardaient même plus les images pourtant en couleur, ils n’avaient d’yeux que pour ce corps de la pulpeuse secrétaire sans aucune pudeur, se tenant à quelques centimètres d’eux qu’ils en percevait son parfum enivrant. Nathalie apercevait la bosse qui se formait sous leur ceinture, ils étaient en plein rêve érotiques, s’imaginant en train de la prendre sans vergogne ou pensant à la fellation qu’elle pourrait leur faire.


C’était Anthony, qui désirait tout de même vendre des voitures, qui les sortait leur songe les plus fous. :
— Qu’en dites-vous Monsieur « Untel »
Souvent, même très souvent ces hommes allaient dans le sens indiqué par le garagiste qui finissait toujours par les remises et les avantages financiers qu’il proposait. Nathalie ne quittait pas son siège avant d’entendre une parole allant vers une vente probable :
— Vous avez raison, ce modèle me conviendrait bien.
Peu de temps après l’accord de principe du Monsieur, elle pouvait disposer, le client était dirigé vers un vendeur, il allait dans le hall d’exposition en compagnie de l’agent commercial qui essayait de finaliser les ventes. Pendant qu’Anthony donnait la récompense à sa secrétaire qui attendait ça avec impatience. Il la baisait sauvagement comme elle souhaitait sur le bureau qui en avait vu d’autre.
La dernière trouvaille, fut l’idée de Nathalie, elle se glissait en dessous du bureau entièrement clos, avant la venue d’un ou d’une employée, convoqué par le Directeur. Il ne devait pas éjaculer pendant toute la savante fellation qu’elle lui administrait pendant l’entretien. Ces employés devaient le prendre pour un fou, car voulant résister, il grimaçait, se crispait tout en écoutant ou parlant avec son interlocuteur. Neuf fois sur dix, il gagnait mais dès que le subalterne quittait le bureau, il sautait sur Nathalie qui ne demandait que ça. Ils en rigolaient comme des jeunes fous.
Ce jour-là, au « garage Petit » où travaillait Nathalie depuis plusieurs années déjà, étant à la recherche d’un nouvel expert-comptable, Anthony le Directeur, le fils de Daniel Petit, recevait dans son bureau un couple du cabinet « EMDEC & associés » des amis à lui. Il demanda à Nathalie de venir pour cette entrevue avec les tous les dossiers nécessaires au bilan de l’entreprise. Elle fit donc la connaissance de Vincent et Florence deux des trois associés du cabinet d’expert-comptable.

Nathalie était littéralement tombée sous le charme de cet homme, ce fut comme un coup de foudre, elle savait au fond d’elle-même, que Vincent était l’homme de sa vie. Mais à en croire, vu le comportement qu’il avait avec cette femme : Florence, qu’ils étaient très proches. Même s’ils n’étaient pas encore mariés, elle avait entendu dire que ce serait pour bientôt. Pourtant, les semaines suivantes, lorsqu’ils communiquaient ensemble où qu’ils se voyaient au cabinet, Vincent donnait l’impression qu’il tenait à se rapprocher de Nathalie. Il l’avait déjà invité au restaurant sans que rien ne se soit passé car Florence était toujours présente mais elle sentait bien que Vincent était attiré par elle et non pas par son corps de bimbo, tout le contraire du troisième associé Richard qui lui la déshabillait du regard.
Plusieurs mois s’étaient passés, toujours aucune approche réelle avec l’homme dont elle était tombée amoureuse. Le drame était survenu au « garage Petit », le patron Daniel Petit que Nathalie affectionnait était décédé. Le jour de l’enterrement, Vincent était venu seul, assister à la cérémonie, tout naturellement, il alla vers Nathalie une des rares personnes qu’il connaissait. De l’église au cimetière puis au pot organisé en mémoire du défunt, ils étaient restés ensemble.
Cette nuit-là, Nathalie accepta l’invitation de son nouvel ami et ils couchèrent ensemble. La nuit fut magique pour Vincent, il n’avait jamais connu de femme aussi naturelle et aussi fougueuse que cette jeune femme. Ce qui marquait beaucoup les hommes qui baisaient Nath, c’était la puissance de sa jouissance et Vincent était comme les autres, il était fier de donner autant de plaisir à cette femme.
Nathalie était de plus en plus amoureuse de lui, elle ne couchait plus du tout avec d’autres homme, elle ne voulait que Vincent mais celui-ci n’était pas disponible, il avait Florence, il ne pouvait retrouver Nath qu’une seule fois par semaine, ce n’était pas suffisant pour elle.
C’était la raison pour laquelle, elle acceptait encore volontiers les parties de baises avec Anthony qu’elle aimait comme amant viril et dominant. Par amour elle espérait toujours car Vincent lui disait souvent : « Je t’aime Nath » et c’était sincère, elle le savait, elle s’en doutait, mais trop sentimental, il n’arrivait pas à faire son choix, il était indécis et cachait bien sa relation à Florence qui n’aurait probablement pas accepté une concurrente.
Cette histoire d’amour dura un an et demi, Florence, voulant se marier et voyant que Vincent la faisait attendre aussi, céda un jour de colère, aux avances répétées de Richard le beau mâle viril de « EMDEC & associés ». Comme cette liaison perdurait, Vincent voyait beaucoup moins sa promise pour le plus grand bonheur de Nathalie. Malgré les appels du pieds répété de Florence, Vincent fit son choix, il était dans l’obligation de le faire dans la mesure où il était harcelé par les deux femmes de sa vie.
Son choix se porta sur Nathalie, Richard quant à lui, s’était installé chez Florence qui prenait son pied dans les bras de cet amant formidable mais malheureusement toujours amoureuse de son ancien partenaire, Flo qui ne pouvait pas se passer de son Vincent lui avait posé un ultimatum :
— Je te laisse te marier mon amour, tu l’aimes ta Nathalie mais promets-moi une seule chose. Que l’on fasse encore l’amour de temps en temps, moi aussi j’ai besoin de ton amour.
En 2011, à l’âge de 28 ans Nath c’était enfin mariée avec Vincent. Peu avant son union, le patron de « EMDEC & associés » voulait que sa future épouse vienne travailler dans son cabinet, elle devait quitter le « Garage Petit », ce fut une décision difficile à prendre pour Nath, Anthony était non seulement un amant extraordinaire mais il fut toujours très gentil avec elle, depuis son embauche huit ans plus tôt, lui et son père Daniel, lui avaient fait confiance et lui avaient tout appris.
Quinze jours avant son mariage, elle débarrassait son bureau chez Petit, lorsqu’Anthony, tenant à venir la saluer personnellement, vit les larmes aux yeux de son amie, elle tomba dans ses bras.
Ils s’enlacèrent un long moment, ils n’auraient plus l’occasion de se voir souvent et étaient tristes tous les deux. Anthony lui caressa la joue et enleva une petite larme qui s’était échappé de son œil et lui déposa un petit baiser sur ses lèvres comme il faisait habituellement, avant de la prendre sauvagement sur le bureau :
— Ça fait plus de deux mois, que tu ne me touche plus ma salope, tu me fais un cadeau d’adieu ?
La raison lui disait qu’elle ne devrait pas céder, mais le désir qui montait de ses entrailles lui disait le contraire, elle avait ce besoin physique qui lui manquait dans les bras de son futur mari qui la faisait jouir pourtant, mais les ébats sexuels avec Vincent étaient bien trop sentimentaux sans perversion, les fellations gourmandes et la sodomie lui manquait :
— Non Anthony, tu sais très bien que je ne peux plus maintenant, s’il te plait ne me tente pas.
Sans répondre, Anthony la repris dans ses bras, et lui prenait les fesses à pleines mains, elle pencha la tête en arrière en fermant les yeux, elle se laissait faire. Il descendit la fermeture éclair de sa jolie robe et la laissa tomber au sol, en sous-vêtement, Nathalie était encore plus désirable :
— Putain, tu vas me manquer Salope. Dit Anthony en lui pelotant les seins sans ménagement.
— À moi aussi. Prends-moi une dernière fois, encule-moi Anthony.
— Attends, fais-moi une dernière pipe Nath.
Les deux amants connurent trente minutes de pur bonheur, Anthony donna trois orgasmes à Nathalie qui jouissait pourtant régulièrement, mais cette fois, elle prit vraiment son pied, la situation sans doute. Ils se firent la bise comme deux amis avant que Nath quitte les lieux.
De leur côté, Florence et Vincent se voyaient régulièrement, il avait tenu sa promesse. La relation sentimentale et sensuelle entre les deux associés se déroulait en principe tous les jeudis après-midi, lors de leur sortie en clientèle. Vincent venait chez Florence, lui faisait l’amour avec tendresse et ils repartaient tous les deux heureux d’avoir satisfait l’autre.
Nathalie de son côté, était très fidèle, elle se contentait dorénavant de l’amour que lui donnait son mari très intentionné. Au lit, malgré leur sexualité banale mais amoureuse, elle jouissait toujours par les caresses sensuelles que lui prodiguait Vincent et les pénétrations vaginales uniquement suffisaient à son bonheur. Elle revit souvent Anthony lorsqu’il passait au cabinet mais, il était très respectueux et ne faisait jamais d’allusion ou d’invitation à la débauche, elle n’était donc pas tentée de reprendre une liaison sauvage mais dangereuse.
Pendant les trois années qui suivirent leur mariage, Richard avait toujours lancé des brindilles enflammées à Nathalie, il tournait autour et ses allusions ne souffraient d’aucun doute sur ses envies de posséder un jour cette femme avec son physique de bimbo. Il l’appréciait beaucoup en tant qu’amie mais ne l’aimait pas d’amour. Il désirait la mettre dans son lit ou la coucher n’importe où et la baiser comme une salope, car il était persuadé qu’elle en était une. Pour Richard, Nathalie était le genre de femme qui avait besoin d’un homme, un vrai dans des parties de sexe endiablée.
Nathalie fit tout pour ne pas succomber, car comme homme, elle aimait son genre et se doutait bien de ses capacités à satisfaire toutes les femmes surtout comme elle. Ce jeudi après-midi, alors que Vincent retrouvait Florence pour leur ébats amoureux de la semaine, Richard en avait profité pour rendre visite à Nathalie dans son bureau. Après avoir discuté de leur sortie la veille au soir et des actualités riches en évènements de ces derniers jours, il était revenu à la charge. Il faut dire que Nath était tout à fait désirable dans son ensemble jupe droite noire courte et fendue, blazer cintré sur un chemisier blanc en dentelle. Elle était sexy et très classe, toujours à la pointe de la mode.
Il la complimenta sur le choix de ses vêtements comme souvent et continua sur ses formes et sur la beauté naturelle de son visage en insistant sur ses lèvres magnifiques qu’il aimerait tant embrasser :
— Voyons Ric, arrête, on va croire que tu me drague enfin. Lui dit-elle en rigolant.
— Je blague Nath, tu le sais bien. Mais tu sais que tu es baisable ma chérie LOL rajouta-il en blaguant, mais c’était dit.
Nathalie marqua un blanc, ce n’était pas dans ses habitudes, il l’avait mis dans tous ses états, elle était prête à céder s’il continuait, elle en pâlit. Lui croyant qu’il l’avait fâchée, voyant qu’il n’avait aucune chance et qu’il ne voulait pas gâcher leur amitié, il s’était levé pour repartir :
— Tu me laisses déjà Ric ? Tu veux que j’aille te chercher un café ?
— Non ! Répondit-il en revenant sur ses pas.
Il était devant elle et la prit par la taille et lui déposa un baiser sur la joue. Surprise par ce geste, Nath tourna légèrement son visage, le baiser fut sur la commissure de ses lèvres. Elle ria en s’excusant, mais les mains de Richard qui pensait que c’était voulu remonta sur son corps et une d’elle s’était posée sur son sein droit entre le blazer et le chemisier. Stupéfaite et ne sachant que faire, elle accepta le baiser qu’il renouvela mais cette fois franchement sur sa bouche :
— Tu as une poitrine de diablesse Nath, montre-les-moi. Dit-il franchement en malaxant ce sein qu’il désirait tant pétrir, tout en forçant sa bouche avec sa langue.
Elle ne refusa pas le baiser, mais ce ne fut que quelques secondes, elle prit vite conscience qu’elle allait se lâcher et s’offrir à lui :
— Stop Ric, nous allons faire l’erreur qu’il ne faut surtout pas commettre, je suis amoureuse de mon mari qui est ton meilleur ami. Restons-en-là et gardons cela pour nous et restons des amis.
— Tu as sans aucun doute raison, excuse-moi encore une fois, je n’aurais jamais dû me permettre de te mettre ainsi dans l’embarras.
Ils avaient pris l’habitude de se retrouver dans le bureau de Nathalie, tous les jeudis après-midi, mais la situation de ce jour-là ne s’était jamais reproduite, ils s’étaient depuis rapprochés et étaient devenus de vrais amis, voire même des complices. Ils se parlaient de tout même de sexe sans tabous, il lui avait avoué comment il aimait les femmes et elle, comment, avant son mariage, elle jouait avec certains de ses partenaires dont certaines anecdotes vécues avec Anthony Petit.


Si comme Nathalie vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par Email.

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